Le roman de Virginie Grimaldi s’ouvre sur le choc de Pauline : cinq mots de son mari, Ben — « Je veux qu’on divorce » — font basculer son univers. Réfugiée chez ses parents avec son fils de quatre ans, elle est dévastée mais refuse la fin de son couple.
Pour raviver la flamme, Pauline décide d’écrire chaque jour à Ben un souvenir de leur histoire. Cette plongée dans leur passé commun, pleine de tendresse et d’humour, se révèle pourtant à double tranchant. En se remémorant les moments vécus, des secrets enfouis refont surface, remettant en question la vérité de leur relation et de leur famille.
Au-delà de la séparation, c’est aussi un roman sur la famille de Pauline, avec ses non-dits, ses failles et son amour inconditionnel. À travers l’écriture, Pauline entame un chemin de résilience et de reconstruction personnel. Le livre aborde avec sensibilité et justesse des thèmes comme le deuil, l’alcoolisme et la reconstruction de soi, soulignant que c’est souvent au plus fort des épreuves que l’on parvient à apprécier véritablement le bonheur.
