Le jour où Rose a disparu

Le roman suit deux intrigues distinctes qui convergent progressivement.

À Bruxelles, Rose se réveille à l’hôpital après un grave accident de voiture. Elle est amnésique et ne se souvient absolument rien de sa vie antérieure. Le seul indice sur son passé est une inscription mystérieuse – un prénom et un numéro de téléphone – à moitié effacée sur sa hanche. Luttant contre un trou noir, elle doit choisir de se reconstruire ou de chercher désespérément à retrouver la mémoire qu’elle a souvent rêvé de fuir.

Parallèlement, à Toulon, Aïda commence un nouveau travail à la Maison des femmes, un lieu de refuge et d’accompagnement pour les victimes de violences. Alors qu’elle s’attache à ses patientes et à l’équipe, elle se méfie du jardinier bénévole, dont le silence et l’attitude l’intriguent profondément.

Ces deux chemins, celui de Rose en quête d’identité et celui d’Aïda au contact des drames de la violence conjugale, sont intimement liés. Julien Sandrel tisse une histoire poignante sur la résilience et la reconstruction des femmes. Le roman aborde avec force et émotion les thèmes de l’emprise et de la violence, révélant un lien secret et bouleversant entre les deux héroïnes à travers une intrigue riche en suspense.

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